C’est du gâchis
C’est pas écolo
Ça a de la valeur
C’est un cadeau
Ça peut encore servir
Ça peut se réparer
Je ne l’ai mis qu’une fois
Quelqu’un a passé du temps à écrire ce livre, coudre cette jupe, façonner ce vase… je dois respecter ce travail
Ça me vient de mon père/ma mère/mon grand-père/mon arrière grand mère (rayer les mentions inutiles)
Je pourrais en avoir besoin dans telle ou telle circonstance
Est-ce que ça t’arrive d’être traversé·e par une de ces pensées quand tu essaies de donner/jeter ?
Tu ressens alors de la culpabilité, de la peine, du remords… et tu reposes bien vite le dit objet là d’où il vient.
-> pour aller plus loin dans la compréhension du lien entre ce que tu penses, ce que tu ressens, et ce que tu fais, lis cet article.
Voici un exercice à tester la prochaine fois que ce phénomène t’empêche de jeter :
- repère que ceci n’est qu’une pensée… et pas LA réalité
- note la sur un carnet
- réponds à la question : Et alors : en quoi est-ce que garder cet objet va résoudre le problème ? Réponds-y non pas en mode auto-critique (tu sais quand tu mets le sous-titre « t’es con ou quoi »). Mais en demandant vraiment à la partie de ton cerveau qui te donne cet argument, de dérouler le fond de sa pensée. Sans le laisser se dérober.
- prends maintenant une vraie décision par rapport à cet objet
Si tu en as l’élan, n’hésite pas à me raconter en commentaires, la prise de conscience de cet exercice.
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