Quand on partage un vécu traumatique, il y a les attitudes qui blessent : déni, silenciation, jugements, conseils non sollicités, questions déplacées. Des attitudes qui renforcent la honte de ce qu’on a vécu…
Et les attitudes qui guérissent.
Ce qui fait mal:
être conseillé.e, jugé.e,
quand on a besoin d’être rejoint.e
Ce qui rend folle-fou :
ne pas être cru.e,
être nié.e dans nos ressentis, notre vécu
Ce qui guérit :
être cru.e
vu.e
rejoint.e
accueilli.e
avec tous nos vécus, nos blessures, nos ressentis
ET comme un être inestimable
qui a en elle.lui toutes les ressources dont elle a besoin pour se déployer
==> Et vous, de quoi avez-vous le plus besoin quand vous partagez un vécu douloureux ?